Quand les hirondelles d’Ossorguine résistent au chaos du monde
Publié le 15 mars 2024

A l’enseigne de La Bibliothèque de Dimitri, salutaire opération de sauvetage du trésor littéraire de L’Age d’Homme, «Une rue à Moscou» de Michel Ossorguine (Mikhaïl dans la présente réédition), représente un fleuron relativement méconnu des fameux Classiques slaves dirigés par Jacques Catteau et Georges Nivat. Comme dans «Vie et destin» de Vassili Grossman, les ténèbres de la tragédie russe s’humanisent sous le regard d’un écrivain impliqué et solidaire, qui oppose son chant du monde au poids de l’Histoire. A (redécouvrir) en ces temps de folie belliqueuse relancée…
S’abonner
Connexion
Veuillez vous connecter pour commenter
0 Commentaires
Le plus ancien
À lire aussi