Six explications au scepticisme croissant à l’égard des vaccins

Publié le 19 juillet 2024
Occultation des effets secondaires, opacité, amalgames et pensée unique, la séquence médiatique autour de la campagne de vaccination contre le Covid-19 a laissé des traces dans la population. Et la santé publique s'en ressent: la vaccination convainc de moins en moins, par conséquent des épidémies éradiquées depuis longtemps refont surface, comme la rougeole. Deux spécialistes font en tout cas le lien: la malhonnêteté en matière de santé ne paie pas.

Ramesh Thakur et Julian Gillespie, article publié sur Infosperber le 15 juillet 2024, traduit par BPLT. 

N.B.: L’article suivant de Ramesh Thakur et Julian Gillespie a été publié sur le site Internet du Brownstone Institute, qui remet en question les mesures sanitaires et la vaccination Covid pour l’ensemble de la population depuis sa création en 2021. Thakur est un ancien secrétaire général adjoint des Nations Unies et professeur émérite à la Crawford School of Public Policy de l’Université nationale australienne. Gillespie est un avocat australien qui milite, entre autres, pour que l’approbation provisoire des vaccins contre le Covid-19 soit déclarée invalide pour non-respect des normes réglementaires. Les grands médias fournissent rarement des informations sur ce point de vue. C’est pourquoi Infosperber publie une version traduite et considérablement abrégée de l’article original en anglais.


Comme l’a signalé l’Unicef ​​en avril dernier, les taux de vaccination ont chuté dans 112 pays et 67 millions d’enfants ont manqué au moins une des vaccinations habituelles en 2020-23 en raison des règles de confinement ou d’une confiance réduite dans les vaccins. Le nombre de cas de rougeole a doublé en 2022 par rapport à 2021 et la polio a augmenté de 16%. Dans l’ensemble, l’Unicef ​​a enregistré la «plus forte baisse soutenue de la vaccination des enfants depuis 30 ans».

Dans 52 des 55 pays examinés par l’Unicef, l’acceptation de la vaccination des enfants a diminué dans la perception du public. Les seuls pays où la confiance est restée stable sont la Chine, l’Inde et le Mexique. Le rapport met en garde: «La combinaison de plusieurs facteurs suggère que le risque d’hésitation à la vaccination pourrait augmenter.» Ces facteurs incluent «l’incertitude quant aux mesures prises contre la pandémie, (…) l’érosion de la confiance dans les connaissances scientifiques et la polarisation politique».

Les cas de rougeole en hausse

La rougeole est de nouveau en augmentation dans les pays industrialisés occidentaux. Le 24 janvier, la BBC a cité un rapport de l’OMS faisant état d’une multiplication par 45 des cas de rougeole en Europe en 2023 (42’200 cas) par rapport à 2022 (900 cas). Au Royaume-Uni, les infections ont atteint leur plus haut niveau depuis les années 1990. Pour obtenir une immunité collective contre la rougeole, environ 95% des enfants de cinq ans doivent être vaccinés, mais dans certaines régions du Royaume-Uni, ce chiffre n’est que de 75% et dans certaines régions de Londres, ce chiffre ne dépasse pas 56%.

Une enquête menée par l’organisation de campagne UsForThem montre que:

  • Seules 52% des personnes interrogées estiment que le gouvernement britannique a fourni des informations honnêtes sur les risques de la vaccination contre le Covid.
  • Près de deux fois plus de personnes interrogées (57 contre 30%) estiment que les ministres britanniques ont été malhonnêtes plutôt qu’honnêtes quant à la nécessité des mesures anti-Covid.
  • 72% ne font plus confiance aux informations de santé publique et aux instructions du gouvernement.
  • La proportion de parents d’enfants de moins de 18 ans susceptibles de faire vacciner leur enfant avec les vaccins recommandés par le gouvernement est passée de 84% (avant la pandémie) à 60%.

Dans cet article, nous citons six hypothèses, liées à la pandémie, qui peuvent expliquer ce scepticisme croissant.

1. Leur efficacité a été exagérée

Le président américain Joe Biden a déclaré lors d’un événement sur CNN le 20 juillet 2021 que les vaccins protégeraient les gens contre le Covid; qu’ils permettaient d’éviter d’être hospitalisé et de succomber au virus.

Mais la croyance initiale selon laquelle les vaccins pourraient effectivement briser les liens entre l’infection, l’hospitalisation et la mort a rapidement été ébranlée à mesure que davantage de données sont devenues disponibles grâce aux vaccinations de masse. En Israël, le taux d’efficacité du vaccin Pfizer contre les infections symptomatiques est tombé à 41%, tandis que le taux d’AstraZeneca au Royaume-Uni est tombé à 1,5% contre les infections et à 60% contre les formes graves. Initialement, on supposait un taux de plus de 90% pour les deux vaccins.  

Les données australiennes suggéraient initialement un fort effet protecteur contre les formes graves et la létalité. Cependant, à mesure que les données s’accumulaient, il est devenu évident que malgré un taux de vaccination de 95%, il n’existait aucune protection contre l’infection, les formes graves et la mort. C’est pourquoi la mortalité liée au Covid en Australie était plus élevée en 2022/23 qu’en 2020/21.

2. Les effets secondaires niés, sous-estimés, banalisés

Les gouvernements et les autorités sanitaires ont déployé des efforts extraordinaires pour occulter les informations sur les effets secondaires graves des vaccins contre le Covid-19.

A mesure que le nombre de victimes du vaccin augmentait, de plus en plus de personnes étaient directement touchées ou connaissaient au moins un membre de leur famille ou des collègues qui pouvait le signaler. Cela a conduit à une méfiance croissante à l’égard des sociétés pharmaceutiques, des gouvernements, des autorités sanitaires et des médias.

En fait, le scepticisme à l’égard des vaccins est alimenté par la censure, la répression. Si le gouvernement avait expliqué qu’il s’agissait de nouveaux vaccins pour lesquels les effets secondaires étaient inévitables, mais que des programmes étaient mis en œuvre pour y faire face et que les fabricants étaient également invités à apporter leur aide, alors le public aurait été beaucoup plus à même de comprendre et aurait apprécié cette honnêteté.

3. Le refus de l’immunité naturelle

L’effet protecteur durable de l’immunité naturelle acquise par les infections virales est connu des médecins depuis la peste d’Athènes . Pour une raison quelconque, ces connaissances se sont évanouies dans l’obscurité pendant trois ans (2020-22) avant d’être redécouvertes. L’OMS a montré une volonté inattendue de manipuler la notion d’«immunité collective» pour s’adapter aux mesures expérimentales pharmaceutiques et non pharmaceutiques qui ont dominé la politique Covid dans le monde. Quiconque rappelait aux gens que l’immunité naturelle était réelle et puissante était tout simplement ignoré.

Le professeur Robert Dingwall, membre du Comité britannique sur la vaccination et l’immunisation, a suggéré le 30 juin 2021 qu’il valait mieux laisser les enfants contracter le Covid que de les vacciner. Etant donné que le Covid ne présente qu’un faible risque pour les enfants, ils pourraient être «mieux protégés par l’immunité naturelle résultant de l’infection que s’ils prenaient le risque éventuel de la vaccination».

Le 30 juillet 2021, le docteur Marty Makary de l’université Johns Hopkins écrivait sur Twitter: «Le terme pandémie de non vaccinés est erroné. C’est une pandémie de personnes non immunisées.» Martin Kulldorff de la Harvard Medical School ajoutait le 6 août 2021: «Les personnes vaccinées ont une probabilité 6,72 fois plus élevée d’être infectées que les personnes ayant une immunité naturelle contre une maladie Covid antérieure.»

4. L’insistance des autorités

Hanna Nohynek est médecin-chef à l’Institut finlandais de la santé et du bien-être et présidente du groupe d’experts stratégiques de l’OMS sur les vaccinations. En avril de cette année, elle a témoigné devant le tribunal d’Helsinki que les autorités savaient déjà à l’été 2021 que les vaccins Covid ne protégeaient pas contre les infections et les transmissions. Les vaccinations obligatoires n’auraient donc plus de sens et pourraient même aggraver la situation en donnant un faux sentiment de sécurité. Mais l’OMS a continué à recommander les vaccins et les gouvernements les ont exigés.

Toute décision concernant la vaccination obligatoire doit prendre en compte deux questions:

Est-ce médicalement justifié? Une réponse positive nécessiterait des bénéfices considérables pour la santé de l’individu, et cela nécessiterait la preuve d’un risque sérieux de maladie sans vaccination. Il faudrait également un haut niveau d’efficacité des vaccins, qui devrait être prouvé à la fois par des tests en laboratoire et en conditions réelles.

Est-ce éthiquement justifié? On pourrait considérer qu’une justification éthique existe si des données convaincantes démontrent un bénéfice significatif pour la société qui compense la perte de l’autonomie et de l’intégrité physique individuelles.

Au cours des premiers mois qui ont suivi l’introduction des vaccins, les données ont démontré une protection des personnes vaccinées contre les formes graves de la maladie. Mais la protection contre la transmission de la maladie était modeste à cette époque.

Lorsque le nouveau variant Omicron s’est propagé dans l’hémisphère nord à l’automne 2022, ni la protection individuelle ni la réduction de la transmission n’avaient plus d’importance. Une étude du New England Journal of Medicine a montré en juin 2022 que les personnes atteintes du Covid-19 propagent le virus dans une mesure comparable, quel que soit leur statut vaccinal. Par conséquent, il n’était pas éthiquement permis de refuser l’accès aux espaces publics à des personnes non vaccinées, car le statut vaccinal ne dit rien sur le fait qu’une personne puisse ou non propager la maladie.

De plus, étant donné qu’en principe seules les personnes âgées courent un risque d’évolution grave de la maladie, mais que tous les groupes d’âge sont exposés au risque d’effets secondaires de la vaccination, il n’y a jamais eu de justification médicale et certainement pas éthique pour vacciner les écoliers et les étudiants. D’autant plus qu’avec l’apparition constante de nouvelles mutations virales, les avancées en matière de vaccination étaient à l’ordre du jour. Dans ces circonstances, les seuls critères permettant de juger du succès des campagnes de vaccination étaient l’impact sur la mortalité et les hospitalisations.

L’ensemble des dommages collatéraux infligés aux étudiants ont rendu totalement contraire à l’éthique l’exigence de leur vaccination contre le Covid. Rétrospectivement, on constate que l’autorisation d’urgence pour les vaccins Covid n’aurait dû s’appliquer qu’aux personnes âgées et fragiles.

5. Censure des voix critiques

En mars 2023, le régulateur britannique de la radiodiffusion Ofcom a réprimandé Mark Steyn pour une interview avec Naomi Wolf qui s’était tenue en avril 2022. Il avait tiré la conclusion des données de l’autorité sanitaire britannique que les vaccinations de rappel contre le Covid entraîneraient un taux de risque d’infection, de maladie grave nettement plus élevé, et la mort. Le régulateur Ofcom a déclaré que les radiodiffuseurs étaient autorisés à diffuser des programmes controversés et à critiquer les statistiques, mais n’a pas insisté sur le fait qu’une seule conclusion pouvait être tirée des données. 

Cependant, les partisans de la vaccination n’ont jamais été logés à la même enseigne. Le 9 septembre 2022, le directeur de la FDA, le Dr. Robert M. Califf, affirmait que le booster bivalent Wuhan-Omicron BA.4/5 mis à jour «augmente vos chances d’assister aux prochains rassemblements avec votre famille et vos amis». Prasad et Haslam [Vinay Prasad est un professeur d’épidémiologie bien connu aux USA, Alyson Haslam fait partie de son groupe de recherche – ndlr. Red.] a commenté ironiquement: «Si l’entreprise avait écrit ceci, la FDA pourrait imposer une amende pour fausses déclarations.»

En Australie, les questions approfondies du sénateur Alex Antic ont conduit à la confirmation officielle que le gouvernement est intervenu dans 4’213 cas sur trois ans pour censurer ou restreindre les publications sur la pandémie sur les plateformes numériques. Les demandes correspondantes provenaient du ministère de l’Intérieur. Comme aux Etats-Unis, l’appareil de sécurité nationale a joué un rôle de premier plan dans la lutte contre la pandémie.

6. La question de la thérapie génique

Dans cette bataille d’information asymétrique, le public a récemment appris que les panacées «sûres et efficaces» contre le Covid en Australie, en Afrique du Sud, au Royaume-Uni et dans l’UE répondent à la définition légale des organismes génétiquement modifiés (OGM) et devraient donc être correctement identifiées comme thérapies géniques.

Cette qualification juridique a été mise en lumière par la Cour suprême d’Australie. Dans une affaire contre la société pharmaceutique Pfizer, la Cour a conclu que Pfizer et Moderna ont toujours su que leurs produits étaient des OGM mais ne l’ont pas indiqué, contrairement à AstraZeneca, qui a demandé et obtenu une licence OGM.

Cela a un impact significatif sur le consentement à la vaccination donné par ceux qui sont peu ou mal informés. Sans parler des conséquences sur l’ADN humain. Les risques génétiques de ces OGM n’ont jamais été évalués ou discutés publiquement, comme l’exige la législation australienne.

En résumé, un peu plus d’humilité et des excuses publiques pourraient être une bonne approche pour diminuer la méfiance du public quant à la vaccination et restaurer la confiance des citoyens dans les institutions de santé publique et des régulateurs.

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