Bret Easton Ellis exorcise la menace des zombies sympas
Publié le 16 mai 2019

Dans le récit critique (et autocritique) de «White», son dernier livre, où il revient sur trente ans d’expériences parfois cuisantes, malgré sa célébrité et son mode de vie effréné, Bret Easton Ellis s’en prend au nouveau conformisme moralisant du politiquement correct à l’américaine, aux effets pervers des réseaux sociaux et, côté zombies, à l’empire du vide symbolisé par la famille Kardashian ou le gigotant ado Cameron Dallas, notamment…
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