Édition du 4 juin 2021

L’autocritique des laboratoires médiatiques n’a pas lieu

Naguère ils ricanaient, désormais ils refusent de reconnaître qu’ils s’étaient trompés. Beaucoup de nos médias mainstream – comprenons par là ceux qui suivent l’opinion dominante en toutes circonstances, que ce soit dans le choix des sujets comme dans le traitement qu’ils en font – avaient balayé d’emblée l’hypothèse d’une fuite de laboratoire comme origine du SARS-CoV-2 quand l’idée était défendue en 2020. La raison? Cette thèse était portée par des instances jugées infréquentables. Aujourd’hui, il est à nouveau permis de considérer cette piste comme crédible. Selon le monde scientifique, elle est même de plus en plus probable. Or, comme souvent, le mea culpa médiatique n’a pas lieu.