Vous reprendrez bien un peu de sexe?
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On ne peut pas dire que Noël soit une fête mettant en avant la sexualité. Rappellons-le: la grand-mère de Jésus, Anne, serait tombée enceinte de Marie alors que son mari, Joachim, s’était retiré dans le désert pour prier et jeûner tandis qu’elle-même passait son temps à prier chez elle. En 20 ans de mariage, ils n’avaient pas eu d’enfant, ce qui les désolait. Au bout de quarante jours de ces ennuyeuses activités, paf!, Anne tombe enceinte. C’est ce qu’on appelle l’Immaculée Conception (une invention catholique du XIXème siècle). Joachim n’aurait pas trempé son biscuit dans la tasse d’Anne et pourtant Marie est née qui, quelques années plus tard, accouchera vierge de Jicé. Non, le sexe n’est pas hyper présent à Noël – même si le Père Noël s’enfile dans les cheminées.
Choser sous le sapin
Pourtant, comme tous les ans, plusieurs médias le prétendent: «A Noël, on a encore plus envie de faire l’amour». Cet affirmation est basée sur plusieurs données: les recherches Google liées au sexe seraient plus nombreuses à cette période, les ventes de préservatifs augmenteraient, comme… les fractures du pénis. Le Huffpost français a contacté – c’est original – un sexologue et docteur en psychologie, Sébastien Garnero. Lequel explique que Noël est «une parenthèse avec la vie sociale habituelle» et que les couples se rapprochent. Sans oublier la consommation d’alcool qui désinhiberait, poussant les uns et les unes à copuler joyeusement tandis les bougies illuminent le sapin...
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