Publié le 21 mars 2020
Pour vous aider à supporter le confinement, pour vous rappeler de bons souvenirs, pour vous faire découvrir notre travail, Bon Pour La Tête exhume les trésors de ses archives.

 


 

Scénario, dessin, animation: Johanna Castellanos

Concept, illustration sonore et habillage: Richterbuxtorf

Publié pour la première fois le 27 septembre 2017

 


 

 

 


Cette chronique animée vous a plu? Soutenez-nous!


 

 

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

À lire aussi

Démocratie en panne, colère en marche

En France, ce n’est pas tant le tourniquet des premiers ministres et la détestation de Macron qui inquiètent, c’est le fossé qui se creuse entre la société et le cirque politicien, avec son jeu d’ambitions qui paralyse le pays. Le tableau n’est guère plus réjouissant en Allemagne, en Grande-Bretagne, en (...)

Jacques Pilet
Accès libre

L’Europe à droite toute. Pourquoi?

On peut s’alarmer de voir la droite de la droite se faire une place au pouvoir dans de nombreux pays européens. Mais on peut aussi en profiter pour s’interroger sur les raisons de ces succès. Encore faudrait-il, pour ce faire, que les anciennes formations politiques soient prêtes à se remettre (...)

Jacques Pilet
Accès libre

Armes, drogue, animaux exotiques… trafics à la frontière suisse

Nos confrères du magazine «L’Espresso» ont suivi le quotidien des douaniers italiens a Ponte Chiasso. Chaque année, 38 millions de véhicules passent par là et dans certains ils trouvent de l’argent sale, des montres de luxe et même… un rhinocéros!

Simon Murat

Pourquoi notre orthographe est si terriblement compliquée

Il y a quelques années, j’ai découvert que la dictée n’était pas un exercice scolaire universel. En Serbie, dès qu’un enfant sait écrire, il sait écrire sa langue. Cela semble une évidence. Pour les francophones, la dictée est une autre forme d’évidence. C’est le pire souvenir des écoliers.

David Laufer
Accès libre

Héritage de l’esclavage: UBS refuse de rendre des comptes

Des historiens veulent mettre à jour les liens entre la place financière suisse et le commerce d’esclaves. L’UBS s’y oppose. Au nom du secret bancaire, ses archives et celles des établissements qu’elle a avalés au fil du temps sont fermées au public. Une affaire qui nous ramène trois siècles en (...)

Bon pour la tête

Pavese, notre ami fragile, nous attend à l’«Hôtel Roma»

Merveille de sensibilité mimétique, de substance documentaire et de justesse d’expression dans son approche d’un grand écrivain retrouvé à l’été (1950) de son suicide, l’ouvrage de Pierre Adrian restitue à la fois les aspects contradictoires de la personne, complexe et combien âprement attachante, et le génie du poète, avec ses (...)

Jean-Louis Kuffer
Accès libre

Le cadeau impérial des Vaudois à Mussolini

«Passé simple», l’excellent «mensuel romand d’histoire et d’archéologie», consacre plusieurs articles à la découverte, en 1939, à Avenches, d’un buste en or de Marc-Aurèle. Mais était-ce bien lui? Ou Tetricus le dernier empereur des Gaules? Mussolini, lui, n’a pas eu de doutes.

Antoine Thibaut
Accès libre

Vous dîtes «nonante», vous?

«Quatre-vingt-dix» ou «nonante»: voilà de quoi distinguer à l’oreille un Français d’un Suisse ou d’un Belge. L’auteure de ces lignes s’est d’ailleurs forcée à changer d’habitudes pour se mêler plus facilement à ses confrères de BPLT… Mais pourquoi ne sommes-nous pas d’accord? «Le Figaro» avance quelques raisons, certaines capricieuses.

Marie Céhère

Le cinéma italien à l’heure du révisionnisme féministe

Il y a quelques mois, «Il reste encore demain» de Paola Cortellesi cassait la baraque du box office italien et même helvétique. Aujourd’hui débarque «Gloria!» de Margherita Vicario, sélectionné en compétition à la dernière Berlinale. Et malgré les meilleures intentions de ces cinéastes soucieuses de revister le passé du point (...)

Norbert Creutz

Mastroianni, de fille en père

Premier film de la compétition cannoise à parvenir dans nos salles, «Marcello mio» de Christophe Honoré offre à Chiara Mastroianni une occasion de briller sur les traces paternelles. Plein de jolies idées pas toujours idéalement réalisées, un spectacle «gender fluid» qui devrait ravir les cinéphiles les plus branchés mais pourrait (...)

Norbert Creutz

L’art de soulever des questions éthiques, l’air de rien

Chose peu commune, semble-t-il, l’auteur bernois Pedro Lenz écrit en Berndütsch «pour montrer que le dialecte appartient aussi à des gens ouverts sur le monde». C’est en binôme que Daniel Rothenbühler et Nathalie Kehrli se sont employés à restituer en français l’oralité d’un propos qui suit le cours de la (...)

Sabine Dormond

Réussir l’examen ou s’exiler

On connaît peu la réalité et l’histoire des pays baltes, pourtant membres de l’UE et de l’OTAN. Le magazine «L’Express» raconte ce qui se passe en Lettonie. Ce petit pays de 1,9 millions d’habitants, autrefois occupé par l’Empire allemand puis l’URSS. On y compte une forte minorité russophone: entre 25% (...)

Jacques Pilet

La ville qui veut éradiquer une langue

L’envoyé spécial du magazine «Le Point» à Odessa raconte comment cette ville, adossée au grand port de la Mer noire fondé au XVIIIème siècle par Catherine II de Russie, tente d’effacer un pan de sa culture.

Jacques Pilet

Lettonie, le casse-tête post-soviétique

La «NZZ» du 13 janvier dernier a publié un grand reportage sur l’est de la Lettonie, qui se trouve être russophone et qui est très marqué par l’influence de la Russie. Un fait qui dérange les dirigeants lettons, qui pensent que la langue et la culture lettonnes doivent primer. Un (...)

Sarah Dohr

Quand Daniel Maggetti remue la soupe aux mots de sa tribu

Poursuivant sa quête identitaire personnelle en phase avec l’histoire des siens, autant ici qu’avec l’Histoire à grande hache, le fils de paysan tessinois devenu prosateur romand de premier rang et gardien du temple de notre littérature, retrace l’itinéraire de son aïeul et de sa mère venus d’Italie voisine en Suisse (...)

Jean-Louis Kuffer
Accès libre

Ukraine: la langue roumaine menacée

En Suisse, on ne peut rester indifférents au sort des minorités linguistiques dans les grands Etats. Intéressante donc, la grande enquête du «Courrier d’Europe centrale» sur la troisième langue parlée en Ukraine après l’ukrainien et le russe, le roumain. Mais par 1% seulement de la population, un demi-million de personnes (...)

Antoine Thibaut