La folie visionnaire fait défaut au pays qui se croit parfait
Publié le 19 septembre 2019

Nos fugues helvètes nous conduisant dans l’Engadine de Nietzsche et de Daniel Schmid, de Thomas Mann et de Hermann Hesse, nous ressentons soudain, devant le vide de l’hors-saison touristique, le manque d’esprit et de cœur d’une société occidentale repue et autosatisfaite. Mais la poésie du monde reste accessible…
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