«Quand la guerre arrive»: plongée dans l’hyper-nationalisme violent
Publié le 10 avril 2018
Le film de Jan Gebert, cinéaste et journaliste tchèque, lance une alarme saisissante. Pendant plus de deux ans, il a suivi un groupe de jeunes gens réunis dans une milice nommée «Recrues slovaques». Il montre de l’intérieur, dans l’action et l’intimité, le mécanisme d’un nouveau fascisme. Avec pour moteur la haine des immigrés, des Etats-Unis et de l’Union européenne. Avec pour mode d’action les exercices militaires et le martèlement des slogans. Avec pour idéal: l’exaltation de la Slovaquie et de l’appartenance slave. A ne pas manquer au festival «Vision du Réel» à Nyon.
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