BD-reportage
Après la jungle de Calais, Fourneaux

Publié le 19 novembre 2017
La journaliste Julie Eigenmann et le dessinateur Herji, tous deux Genevois, sont partis à Fourneaux (en Savoie) découvrir le quotidien des migrants déplacés après le démantèlement de la jungle de Calais en fin 2016. «Après l'arrivée», leur BD-reportage qui retrace leur expérience, dépendait du bon vouloir des internautes. Le crowdfunding, lancé la semaine dernière pour couvrir les frais d'impression de 6500 francs, a atteint son objectif hier soir. La BD sortira donc en décembre prochain dans la revue «Vivre Ensemble», une association active dans la défense du droit d’asile et des réfugiés. Dans cette interview-vidéo, Julie et Herji nous parlent de nécessité, d'empathie et de veilleurs de nuit en répondant chacun leur tour avec un mot symbolique. Cliquez!

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

À lire aussi

«Mai 68 n’est qu’un sursaut de l’histoire»

Ils avaient 20 ans, 22 ans, 30 ans en 68 et aujourd’hui sont interviewés par des jeunes journalistes. Ils nous parlent de la sexualité, de politique, d’éducation, de la société: comment était-ce en 68? Quels changements ont vraiment perduré? Ne reste-t-il qu’une idéalisation des manifestations et mouvements de 68 aujourd’hui? (...)

«Je défends l’idée de nostalgie»

Ils avaient 20 ans, 22 ans, 30 ans en 68 et aujourd’hui sont interviewés par des jeunes journalistes.
Ils nous parlent de la sexualité, de politique, d’éducation, de la société: comment était-ce en 68? Quels changements ont vraiment perduré? Ne reste-t-il qu’une idéalisation des manifestations et mouvements de 68 (...)

«Les enfants ne supportaient plus la frustration»

Ils avaient 20 ans, 22 ans, 30 ans en 68 et aujourd’hui sont interviewés par des jeunes journalistes.
Ils nous parlent de la sexualité, de politique, d’éducation, de la société: comment était-ce en 68? Quels changements ont vraiment perduré? Ne reste-t-il qu’une idéalisation des manifestations et mouvements de 68 (...)

«Je garde l’idéal qui nous a fait choisir ce mode de vie»

Ils avaient 20 ans, 22 ans, 30 ans en 68 et aujourd’hui sont interviewés par des jeunes journalistes.
Ils nous parlent de la sexualité, de politique, d’éducation, de la société: comment était-ce en 68? Quels changements ont vraiment perduré? Ne reste-t-il qu’une idéalisation des manifestations et mouvements de 68 (...)

«J’ai eu peur pour ma famille en Mai 68»

Ils avaient 20 ans, 22 ans, 30 ans en 68 et aujourd’hui sont interviewés par des jeunes journalistes.
Ils nous parlent de la sexualité, de politique, d’éducation, de la société: comment était-ce en 68? Quels changements ont vraiment perduré? Ne reste-t-il qu’une idéalisation des manifestations et mouvements de 68 (...)