«Mon colon, celle que je préfère, c’est la guerre de quatorze-dix-huit»
Publié le 12 novembre 2018

Bizarre… En ce temps de commémoration, les radios ne passent guère la chanson de Georges Brassens. Le doux provocateur. Il a raison pourtant. La Première Guerre mondiale fut la plus folle. Parce qu’au début personne ne la voulait. Puis tout le monde en a rêvé. Tous s’y sont lancés. Et ce fut une atroce tuerie. Emmanuel Macron et une ribambelle de présidents ont pris des airs pénétrés pour en saluer la mémoire. Mais en ont-ils tiré toutes les leçons? Pas sûr, quoi qu’ils en disent.
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