Kaboul-Kandahar, dans l’ombre des Talibans
Publié le 2 février 2018
Partir en Afghanistan, pour les un an de l’assassinat de Massoud et de l’effrondement des tours, était à en croire l'entourage de la soussignée, parfaitement insensé. Pas pour elle: la touriste aurait sans doute eu peur, pas la journaliste. Schizophrène? Peut-être. Ambiance.
S’abonner
Connexion
Veuillez vous connecter pour commenter
0 Commentaires
Le plus ancien
À lire aussi