Amerigo, Christophe et Jacques sont sur un bateau

© DR
Amerigo, ce lundi 10 mai 1497, vous avez hissé les voiles. Vous aviez 43 ans et des rêves. Lesquels (à part celui d’égaler votre ami Christophe Colomb de trois ans votre aîné)?
Je me résolu d’abandonner le commerce et de fixer mon objectif sur quelque chose de plus louable et stable, d’où je me suis préparé à voir une partie du monde et ses merveilles.
Vous, le Florentin au service du royaume du Portugal, êtes arrivé aux Antilles puis êtes remonté le long des côtes de l’Amérique centrale jusqu’en Floride. Vous décrivez des iguanes, les combats des Espagnols contre les Indiens, les mœurs de ces derniers…
Leur façon de vivre est très barbare, parce qu’ils ne mangent pas à des horaires fixes, mais aussi souvent qu’ils le veulent
Et cela heurte le colon que vous êtes?
Quelle idée peut être formée à partir de la description de ces personnes ou de ce que le crédit peut donner à leurs histoires. Je vous laisse juger.
Ok. Y avez-vous trouvé ce que vous cherchiez?
Il existe ici, comme dans tous les pays, des avantages et des inconvénients.
Voilà voilà.
L’indulgence du peuple est la cause réelle de la grande pauvreté, même si les terres sont capables de produire tous les nécessaires pour soutenir la vie humaine.
Reconnaissez tout de même, Amerigo, que votre plus grande gloire est d’avoir donné votre nom au Mundus Novus que vous avez (re)découvert, juste?
Ces nouvelles régions que nous avons trouvées et explorées avec la flotte…...
Ce contenu est réservé aux abonnés
En vous abonnant, vous soutenez un média indépendant, sans publicité ni sponsor, qui refuse les récits simplistes et les oppositions binaires.
Vous accédez à du contenu exclusif :
-
Articles hebdomadaires pour décrypter l’actualité autrement
-
Masterclass approfondies avec des intervenants de haut niveau
-
Conférences en ligne thématiques, en direct ou en replay
-
Séances de questions-réponses avec les invités de nos entretiens
- Et bien plus encore…
Déjà abonné ? Se connecter
À lire aussi













