Pourquoi taire la nationalité des suspects est une mauvaise idée
Publié le 21 décembre 2017

La récente décision de la ville de Zurich de ne plus mentionner la nationalité des auteurs présumés de délits dans les communiqués de la police a provoqué un vif débat. Certains rêvent déjà de voir la Suisse romande suivre l'exemple. L'intention est peut-être louable mais repose sur une conception totalement dépassée de la liberté de l'information et de la transparence de l'activité de l'Etat, estime Denis Masmejan.
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