«La vague»: submergée par sa propre médiocrité
Publié le 24 août 2018

La mort du cinéma, professée voilà déjà plus de trois décennies par Serge Daney et Jean-Luc Godard notamment, s'est transformée au fil du temps en une sorte de boutade, au point d'être récemment récupérée à des fins mercantiles par Nicolas Winding Refn... Pourtant, en subissant «La vague», d'Omar Belkacemi, impossible de ne pas constater qu'il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark.
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