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Le Conseil national suisse au service de la propagande de guerre étrangère

La tradition humanitaire de la Suisse est en grand danger. Pendant des décennies, elle a joui d'une réputation d'impartialité dans la fourniture de l'aide nécessaire sur le terrain.Au milieu d'une tragédie évidente à Gaza, le Conseil national – 99 personnes plus 7 «indécis» – a refusé de voter l'aide d'urgence promise à une population civile meurtrie.
Bon pour la tête
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Qu’est-ce donc qui cloche au Parlement?

Tout a été dit sur le résultat des élections fédérales. Renforcement de la droite avec la poussée de l’UDC, affaiblissement de la gauche dû à la défaite des Verts. Mais encore? En réalité ce Parlement entrant ressemblera comme deux gouttes d’eau au sortant. Par l’origine sociale, par les professions, par les accointances des élus. L’écart entre leurs préoccupations et celles d’une grande part de la population, pas nouveau, se creuse encore. Etonnez-vous que la politique suisse n’enthousiasme guère le grand public.
Jacques Pilet
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Ce qui se disait hier et qui grince aujourd’hui

Le Parlement a donc décidé de lancer une CEP (commission d'enquête parlementaire) sur les causes historiques et récentes du séisme bancaire helvétique. Cela ne plaira guère à toutes les personnalités du monde politique et économique qui ont minimisé les dangers et écarté les propositions d’assainissement du système. Le site Infosperber éclaire le processus.
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L’initiative «Giacometti» et ses dessous

«Le peuple et les cantons décident des lois fédérales déclarées urgentes!» C'est le titre officiel de l'initiative, abrégée en «initiative Giacometti». Elle est soutenue par des citoyens de tous bords: Guy Mettan, Suzette Sandoz, Andreas Kley, Marco Giacometti, Christophe Pfluger, mais aucun parti politique, peu d’associations et encore moins les médias n’en parlent. L'initiateur nous a accordé un entretien afin de nous permettre de découvrir les coulisses de cette initiative: comment elle est née, puis a été ignorée.