Nous avons été nombreuses à nous indigner en apprenant les ignobles mésaventures de Madame Gisèle Pélicot, victime de son mari déviant pendant de longues années. Il est bon de constater que nous ne sommes pas seules, nous, les femmes, à avoir envie de vomir face à ce type d’attaque répétée contre l’intégrité et la dignité d’une des nôtres. J’ai été très agréablement surprise d’entendre, lors d’une émission pourtant humoristique, les Bras cassés de la radio Couleur3, un papier écrit par le chroniqueur Philippe Battaglia.