pandémie

Les amères retombées des Jeux de Tokyo 2020
«Les Echos» s’est interrogé dans une récente série d’été sur les retombées de l’organisation des Jeux olympiques sur les villes hôtes. A Tokyo, les JO 2020 se sont tenus l’année suivante et en pleine pandémie, des conditions exceptionnelles qui n’ont pas permis à la fête sportive de battre son plein. Les habitants, frustrés, font désormais les comptes et ne sont pas près de renouveler l'expérience.

Covid: trois ans de crise et zéro bilan
Les péripéties et soubresauts des multiples affaires Berset, et notamment de la possible collusion entre son chef de la communication et le directeur général de Ringier Marc Walder ne doivent pas nous faire oublier qu’aucun bilan sérieux n’a encore été dressé de la crise sanitaire la plus grave du XXIème siècle...

«Les Etats-Unis ont financé des expériences à haut risque»
Bien que le sponsor américain ait été averti des lacunes en matière de sécurité de l'Institut de virologie de Wuhan, l'argent a continué d’affluer. Entretien avec le Pr Roland Wiesendanger de l'université de Hambourg sur les origines de la pandémie de coronavirus.

Liberté, j’écris ton nom!
«Aucune liberté ne devrait être retirée à celui qui ne nuit pas à autrui», telle est la doctrine que conceptualisa il y a deux siècles John Stuart Mill (1806-1873), philosophe anglais. Le pass vaccinal en a retiré un grand nombre aux non-vaccinés: accéder aux musées, aux restaurants, parfois au travail, visiter leurs proches en EMS, à l’hôpital, et même pleurer les chers disparus aux enterrements. Nuisaient-ils à quelqu’un? Telle est la question.

«Liberté chérie»? Pas tant que ça!
En ces temps de pandémie, le mot «liberté» se porte comme un charme. Il fleurit aux lèvres des manifestants contre les restrictions sanitaires. Sur l’autre rive du fleuve salivaire, il sautille pour célébrer ce vaccin qui nous libère du Covid. La liberté, c’est l’Arlésienne de nos consciences. Toujours présente à nos esprits et le plus souvent absente de nos vies.

L’heure des comptes
Le Conseil fédéral met fin à la plupart des mesures qui limitent massivement nos libertés collectives et individuelles. Le vent a soudain tourné. Le moment arrive des comptes à rendre. Pour la valse des milliards, ce sera aisé, les calculettes surchauffent depuis belle lurette. Pour le bilan politique et l’examen des traces que laisseront ces deux années exceptionnelles, ce sera plus long et non sans résistances. Trois pouvoirs doivent pourtant être mis sur la sellette. Le politique, le médical et le médiatique.

«Je n’ai jamais vu une telle rage à l’égard de ceux qui ne sont pas du même avis»
Suzette Sandoz est professeure de droit à la retraite, ancienne conseillère nationale et députée au Grand conseil vaudois. Cette femme de caractère se décrit comme une passionnée de la vie et de la politique. Profondément humaniste, l’une des dernières représentantes de libéraux vaudois est très inquiète de voir le tournant totalitaire emprunté par son pays et n’hésite pas à l’exprimer dans son blog, hébergé par «Le Temps». Nous sommes allés lui rendre visite dans sa demeure de l’est-lausannois, afin de recueillir son sentiment sur la votation à venir. Mais pas que!

Ravages dans le domaine hospitalier suisse
Seules quelques lignes dans les journaux en ont parlé: des fermetures d’hôpitaux ont lieu en Suisse malgré le COVID. Ça se passe sans faire les gros titres, sans faire de vagues non plus, sans soulever l’indignation. Pourtant, des centaines d’emplois disparaissent, ainsi que des lits dits «d’urgence», si importants durant la pandémie. Et ce n’est pas terminé.