Japon

Les amères retombées des Jeux de Tokyo 2020
«Les Echos» s’est interrogé dans une récente série d’été sur les retombées de l’organisation des Jeux olympiques sur les villes hôtes. A Tokyo, les JO 2020 se sont tenus l’année suivante et en pleine pandémie, des conditions exceptionnelles qui n’ont pas permis à la fête sportive de battre son plein. Les habitants, frustrés, font désormais les comptes et ne sont pas près de renouveler l'expérience.

Célébrer les fleurs de cerisier, ou la poésie de l’impermanence
Le hanami (« regarder les fleurs »), désigne la coutume traditionnelle japonaise qui consiste à apprécier la beauté des fleurs, principalement les fleurs de cerisier, qui fleurissent entre fin mars et début avril, marquant officiellement l’arrivée du printemps.

Regarde-moi dans les yeux
Sur les brisées du fabuleux «Drive My Car» de Ryusuke Hamaguchi, son contemporain Koji Fukada réinvente son cinéma dans un «Love Life» plus accessible pour le grand public. Et ce n'est pas un mal, tant ce film complexe et raffiné sur les non-dits entre un jeune couple endeuillé en devient universel.

Japon: des milliards pour faire plus d’enfants
Fort de ses 128 millions d’habitants, le Japon n’a enregistré que 770’000 naissances en 2022, le chiffre le plus bas depuis qu’existent ses statistiques. Cela alarme vivement le gouvernement, raconte le correspondant à Tokyo du «Figaro». Le Premier ministre, Fumio Kishida redoute «la paralysie sociale» du pays.

Isamu Noguchi, périple politique
Le Centre Paul Klee (ZPK) de Berne consacre jusqu’au 8 janvier 2023 une exposition exhaustive à Isamu Noguchi. L’artiste, qui se considérait comme un citoyen du monde, lui qui n’a cessé de voyager tout au long de sa vie, laisse entrevoir une œuvre féconde, interdisciplinaire et radicale.

Les voies sinueuses de la consolation
Prix du scénario à Cannes alors qu'il aurait mérité rien moins que la Palme d'Or, «Drive My Car» confirme l'avènement d'un nouveau maître japonais. D'une nouvelle de son compatriote Murakami, étirée et amplifiée, Ryusuke Hamaguchi a tiré une forme de chef-d'œuvre qui allie le meilleur de la littérature et du cinéma.