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Guy Debord dans une collection sur des icônes pop
«Icônes» est le nom générique de cette nouvelle collection de livres paraissant aux éditions Les Pérégrines. Celui sur Guy Debord en est le huitième volume. Les précédents portaient sur Duras, Duchamp, Warhol, Beauvoir ou Tabarly. Nous avons donc là, une vie, une œuvre, en 100 pages et il ne s’agit bien sûr pas d’une biographie exhaustive mais d’évocations rapides de moments décisifs.

Incarner l’ange de Visconti ne conduit pas au paradis
Cinquante ans après «La mort à Venise», un film suédois à valeur de parabole (à voir ces jours sur ARTE) documente, avec la voix et les images d’archives de Björn Andrésen à l’appui, le double drame vécu par «le plus beau garçon du monde», adulé et réduit à une image artificielle, cliché de l’éphèbe occultant la souffrance personnelle d’un orphelin hypersensible en mal de tendresse maternelle. Et la famille Mann dans tout ça?