criminalité

Les mafias se royaument en Suisse
La cheffe de la police fédérale (Fedpol), Nicoletta della Valle, n’a pas la langue dans sa poche. Elle vient de donner une interview à la «NZZ» qui mérite l’attention. Selon elle, les organisations criminelles internationales sont bien implantées chez nous et les moyens pour les traquer sont insuffisants.

Equateur: comment le «havre de paix» de l’Amérique du Sud est devenu l’un des pays les plus violents du monde
Qui l’eût cru? La célèbre phrase prononcée en 1991 par le président équatorien de l’époque, Rodrigo Borja Cevallos (1988-1992), lors de la conférence «Paix pour le développement», et répétée dix ans plus tard par un autre président, Gustavo Noboa Bejarano, selon laquelle l’Équateur serait un «havre de paix» dans le monde, a désormais complètement perdu de son sens.

Trafic de stupéfiants: comment l’économie légale se rend co-responsable
Et si l’économie légale endossait une responsabilité non négligeable dans l’explosion actuelle du trafic de stupéfiants et en particulier de la cocaïne? On a souvent tendance à penser la réalité de façon manichéenne avec, d’un côté, le monde de l’illégal recourant communément à la violence et, de l’autre, une sphère légale, par essence saine et pacifique, prospérant indépendamment du crime.

Le jeune Président à la main dure, très dure
Le magazine colombien «Semana» présente le jeune Président du Salvador, Nayib Bukele, devenu une star en Amérique latine. Une polémique entre lui et le Président de la Colombie, Gustavo Pietro, fait grand bruit. Le premier reproche au second de négocier avec les mafias qui contrôlent le marché de la drogue, préférant quant à lui une répression sans freins.

La Suisse, armurerie du grand banditisme français
Une enquête de France Info révèle que la Suisse présente un attrait de plus en plus fort aux yeux des trafiquants d’armes français. Les cambriolages d’armureries se multiplient ces derniers mois, on dénombrerait 350 armes volées en circulation, principalement des armes lourdes, plus faciles d’accès de ce côté-ci de la frontière.

«Je me sentais comme un Ouïghour dans un camp de rééducation»

Ethnologue et membre de gang: une expérience nicaraguéenne
