coûts de la santé

Le parlement suisse refuse de faire baisser les coûts de la santé
Chaque année, à l’annonce de l’augmentation des primes d’assurance maladie, on nous sert comme argument l’inévitable explosion des coûts de la santé. Or ce n’est pas la santé qui coûte cher, mais la maladie! Pourtant, depuis des années, une large majorité de parlementaires rejette systématiquement toute initiative en lien avec la santé publique.

Les Suisses ne tirent aucun avantage des coûts élevés de la santé
Les primes d'assurance maladie devraient à nouveau augmenter de 4 % en 2026. Or il n’existe aucune corrélation entre les coûts de la santé et la santé réelle d’une population, ni avec son espérance de vie. La preuve? En Grande-Bretagne, le nombre de décès liés au cancer est inférieur à celui de la Suisse malgré des dépenses deux fois moins élevées.

Coûts de la santé: sale temps pour les malades
L’augmentation de la franchise minimale de l’assurance maladie décidée la semaine dernière par la majorité bourgeoise du Conseil national n’a rien d’une surprise. Une fois encore, le Parlement a décidé d’épargner les puissants lobbies de la santé et de prendre l'argent là où il y en a le moins: chez les assurés. Pourtant, d’autres solutions existent.
Le déficit des hôpitaux se creuse
Sept établissements sur dix, en Suisse, sont dans le rouge. Le site spécialisé Medinside.ch révèle une étude d’audit KPMG. Au total, les pertes s'élèvent à un milliard de francs. Les causes? Une forte augmentation des coûts de personnel (+ 8% en 2023), la modernisation digitale, et surtout des marges insuffisantes, particulièrement faibles et souvent inexistantes dans les grands établissements hospitaliers publics.

Transparence, suite et pas fin
Nous parlions l’autre jour du blocage des informations sur l’achat massif des vaccins par l’OFSP. Or celui-ci, avec l’assentiment du Conseil fédéral, est reparti à l’assaut de la transparence, en introduisant, malgré les protestations, un article (52 c) à la loi sur l’assurance-maladie: il permet de déroger à la publication des prix de certains médicaments.

Inquiète pour l’avenir, Prune milite pour la Fesse Populaire
Les tragi-comiques péripéties de la famille Schinken Pochon ///// Les succès électoraux du Rassemblement National français dépriment Prune et son amante. Les lits «anti-sexe» du village olympique des prochains JO aussi. Mais entre elles, le désir est toujours de mise, au grand dam de Nadège. Pour la grève féministe du 14 juin, elles arborent fièrement la couleur violette et elles vont se lancer en politique avec un nouveau mouvement et une manière originale de présenter leurs slogans.

Nadège dénonce les islamo-wokistes qui tissent leur toile
Les tragi-comiques péripéties de la famille Schinken Pochon ///// C’est décidé, elle va écrire des livres, suivant en cela l’exemple de son modèle, Elisabeth Badinter. Il faut dire que Nadège se sent investie de plusieurs missions, comme par exemple lutter contre le bolchévisme et pour la diminution des coûts de la santé. Sinon, elle s’inquiète pour son frère journaliste qui a été tabassé par l’amante de Prune et en garde d’importantes séquelles psychologiques.

