Parti socialiste

Le couscous calme la douleur de Jacques-André qui retrouve de l’assurance

Les tragi-comiques péripéties de la famille Schinken Pochon ///// Une conseillère fédérale socialiste est contre la 13ème rente AVS, un conseiller aux Etats, également du PS, est pour… Jacques-André se sent tiraillé entre plusieurs tendances politiques. Il ne sait pas non plus que penser de la révolte des paysans français et s’interroge: «Sont-ils de droite ou de gauche?» Il aurait bien posé la question à Kevin, mais Prune a quitté son amant agriculteur. Heureusement, il y a Dolores…
Patrick Morier-Genoud

Nadège débute l’année en colère contre les fossoyeurs de l’économie libérale

Les tragi-comiques péripéties de la famille Schinken Pochon ///// Elle est tout à fait favorable à un rapprochement Suisse-Union européenne et s’indigne de ce qu’elle voit comme une dérive gauchère des syndicats et du PS. Par contre, la nomination de Gabriel Attal à la tête du gouvernement français remplit Nadège d’aise: elle aimerait tant que Simon-Pierre en prenne de la graine. Et elle se gausse de cette jeunesse prompte à critiquer les boomers mais qui pollue plus qu’eux.
Patrick Morier-Genoud

Il ne suffit pas d’une bûche pour être heureuse, constate Prune

Les tragi-comiques péripéties de la famille Schinken Pochon ///// Entre son amant agriculteur et elle, il y a quelques différences de sensibilité, notamment en ce qui concerne le réchauffement climatique et la condition animale. Pour Noël, Prune a réalisé une œuvre d’art pour chaque membre de sa famille alors que pour la première fois son père, Jacques-André, est absent, en voyage avec son amante. Du coup, Nadège a brûlé la dinde; un acte peut-être symbolique…
Patrick Morier-Genoud
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Simon-Pierre se sent nerveux et hésite à prendre un bain pour se détendre

Les tragi-comiques péripéties de la famille Schinken Pochon ///// Très sensible, il supporte mal d’avoir un père de gauche et il considère que sa sœur est une dépravée sexuelle. Sa relation avec Slimane en pâtit, ce qui le rend encore plus malheureux. Admiratif des loups et de Vladimir Poutine, Simon-Pierre s’offusque qu’on puisse le comparer à Prune et trouve que les Suisses ne sont finalement que des moutons consuméristes. Il ne va pas bien, non, vraiment pas bien.
Patrick Morier-Genoud