liberté

Choisis la vie
La question de la liberté est fondamentale en philosophie. Elle l’est tout autant dans les textes des mythologies de par le monde et dans ceux des grandes religions. Penchons-nous sur un passage de la Torah, étudié dans la liturgie juive en cette période de l’année, qui nous guide à travers cette question et qui nous invite, envers et contre tout, à choisir la vie. Méditation.

Grèce: la liberté de la presse en danger
Deux reporters grecs qui ont enquêté sur des scandales de corruption impliquant dix hommes politiques (dont l'ancien Premier ministre Antonis Samaras, Yannis Stournaras, l’actuel chef de la Banque centrale grecque, et Evangelos Venizelos, ex-vice-premier ministre) qui auraient reçu des pots-de-vin du géant pharmaceutique Novartis, sont poursuivis pour «manquement à leur devoir», «participation à une organisation criminelle» et «participation à un complot». Un regard sur l'imbrication entre la politique, l'économie et les médias en Grèce qui entraine la dégradation de la liberté de la presse.

«Liberté chérie»? Pas tant que ça!
En ces temps de pandémie, le mot «liberté» se porte comme un charme. Il fleurit aux lèvres des manifestants contre les restrictions sanitaires. Sur l’autre rive du fleuve salivaire, il sautille pour célébrer ce vaccin qui nous libère du Covid. La liberté, c’est l’Arlésienne de nos consciences. Toujours présente à nos esprits et le plus souvent absente de nos vies.

L’heure des comptes
Le Conseil fédéral met fin à la plupart des mesures qui limitent massivement nos libertés collectives et individuelles. Le vent a soudain tourné. Le moment arrive des comptes à rendre. Pour la valse des milliards, ce sera aisé, les calculettes surchauffent depuis belle lurette. Pour le bilan politique et l’examen des traces que laisseront ces deux années exceptionnelles, ce sera plus long et non sans résistances. Trois pouvoirs doivent pourtant être mis sur la sellette. Le politique, le médical et le médiatique.

«Je n’ai jamais vu une telle rage à l’égard de ceux qui ne sont pas du même avis»
Suzette Sandoz est professeure de droit à la retraite, ancienne conseillère nationale et députée au Grand conseil vaudois. Cette femme de caractère se décrit comme une passionnée de la vie et de la politique. Profondément humaniste, l’une des dernières représentantes de libéraux vaudois est très inquiète de voir le tournant totalitaire emprunté par son pays et n’hésite pas à l’exprimer dans son blog, hébergé par «Le Temps». Nous sommes allés lui rendre visite dans sa demeure de l’est-lausannois, afin de recueillir son sentiment sur la votation à venir. Mais pas que!

L’exclusion des pestiférés
Oui, les non vaccinés sont bannis de la vie sociale tels des pestiférés. Et de plus s’il leur prend l’envie de passer les frontières, il est prévu de leur compliquer le plus possible et de renchérir drastiquement leur voyage (trois tests!). Quoique l’on pense du vaccin, comment ne pas voir dans quel engrenage liberticide nous sommes engagés?

Ce sport féminin dont les hommes raffolent
Pourquoi les hommes prennent-ils tellement de plaisir à regarder évoluer les sportives? Pourquoi des règlements imposent-ils aux femmes pratiquant un sport de compétition des tenues mettant en valeur les attributs de leur sexe? Aujourd’hui, de plus en plus d’athlètes revendiquent le droit de s’habiller comme elles veulent.

Le Royaume-Uni s’apprête à traiter les journalistes comme des espions
La divulgation de documents ou d’informations sensibles par des journalistes pourrait bientôt être assimilée à de l’espionnage, dans le cadre d’une modification de la loi sur la sécurité nationale. La presse britannique veut alerter l’opinion.

A Berne, la police anti-émeute s’en est prise violemment à des manifestants et des promeneurs. Règne de l’arbitraire
Lors de la manifestation pacifique non-autorisée contre les mesures sanitaires de samedi dernier à Berne, la police anti-émeute a eu recours à une tactique quasiment militaire pour empêcher ce rassemblement. Des personnes ont été arrêtées et contrôlées sur le simple soupçon de vouloir participer à cette manifestation. Elles ont été encerclées durant des heures, puis expulsées de Berne pour 48 heures. D’autres, comme la présidente de Bon pour la tête, ont été arrêtées, menottées et détenues dans le centre d’attente et détention de Neufeld. Récit et témoignages.