Dystopie évoquant l’emprise globale d’un empire numérique à l’américaine, le dernier roman de Dave Eggers, après «Le Cercle», tient de la visite guidée aux enfers suaves du virtuel pavés de bonnes intentions imposées à chacune et chacun par le nouveau Big Brother. Bien vu dans une foison de détails, dont l’accumulation contraste hélas avec le vide des personnages «juste sympas »…