Michel Finsterwald
Michel Finsterwald
Michel Finsterwald, jeune pigiste mais vétéran de la vie, décide de tout lâcher de sa carrière d’ingénieur-économiste en grande entreprise quand le néolibéralisme se fait trop envahissant. Son nouveau champ de bataille? peindre, organiser des conférences, en donner, voyager et surtout écrire. Des chroniques, un premier roman (Bouromka, sous le pseudo de Paul Derville, voir critique de Jacques Pilet dans BPLT du 09.02.2018), et maintenant une participation à l’aventure de ce média indocile qu’est Bon pour la Tête. Avide et amoureux du savoir, Michel Finsterwald a en outre repris de la chemin de l’école, de l’Université (Unil) en l’occurrence, pour se frotter à la philo, à la littérature française et à l’histoire de l’art.
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